Prochaine réunion : 11 mai 2024
Dernière mise en ligne : HOFFEN - Registre Paroissiaux

Adresse

7, rue Principale
67250 Lobsann

Horaires d'ouverture

Le Lundi : de 09h00 à 11h00 et de 14h00 à 18h00
Le Mardi : de 09h00 à 11h00 et de 14h00 à 19h00
Du Mercredi au Jeudi : de 09h00 à 11h00 et de 14h00 à 18h00

Contacts

Téléphone : +33 3 88 80 40 02
Télécopie : +33 3 88 80 56 26
Courriel : mairie.lobsann [ à ] wanadoo.fr

Arrondissement : Wissembourg

Canton : Soultz-sous-Forêts

Code commune : 67271

 

 

 

 

 

 Images

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 Collection privée

Aperçu historique

(Autrefois Lubesahe, Lusau) village du Bas-Rhin, arrondissement de Wissembourg, canton de Soultz-sous-Forêts, sur le chemin de Climbach à Soultz-sous-Forêts. 2 moulins à blé. 491 habitants (277 cath., 214 luth.)

La mine bitumeuse située à 1 km de la commune de Lobsann, fut découverte en 1756 au lieu dit Saupferch, mais on ne commençat des travaux pour extraire la roche qu'en 1818. Cette mine est aujourd'hui exploitée sur une grande échelle ; on en tire un calcaire bitumeux, qui sert à la fabrication d'huiles minérales, du goudron pour le goudronnage des bois, etc...et du mastic asphaltique, qu'on emploie pour le dallage des trottoirs, cours, terrasses, caves, etc. L'huile qu'on en obtient est blanche et limpide comme l'eau de source ou jaune comme l'huile végétale ; les deux qualités servent à l'éclairage, la première spécialement pour l'intérieur des appartements et la seconde pour les ateliers, fabriques et l'extérieur. La mine de Lobsann renferme en outre une bouille lignite que l'on emploie sur place comme combustible.

Près de Lobsann se trouvait autrefois le prieuré de religieuses de Marienbronn ou Moerenbronn, fondé en 1237. Ses biens furent donnés à l'abaye de Neubourg en 1697.

Source : l'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire topographie, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin (auteur : BAQUOL - Edition entièrement refondue par P. RISTELHUBER - 1865)

Le nom LOBSANN est probablement une mauvaise transcription de Lusau ou Lobsau.

Au Moyen-Age, une partie des maisons est rattachée à la Seigneurie des FLECKENSTEIN, et donc à la paroisse de SOULTZ. L'autre groupe l'est à la Seigneurie de Hanau-Lichtenberg.

L'ensemble reviendra plus tard aux FLECKENSTEIN.

Vers 1550, Lobsann adopte la réforme avec ses Seigneurs.

En 1648, à la fin de la guerre de 30 ans qui fut très meurtrière, l'Alsace est rattachée à la France par le Traité de Westphalie.

L'Alsace et donc l'Outre-Forêt sont repeuplées par des familles venues de Suisse, Bavière, Franche-Comté, Picardie et bien d'autres régions. Parmi elles, de nombreuses familles catholiques s'installent ainsi à Lobsann qui selon leur implantation dépendent alors de la paroisse de Soultz ou celle de Kutzenhausen. (important pour ceux ou celles qui désirent poursuivre les recherches généalogiques en deçà de 1793)

Aux 17ème et 18ème siècles, les habitants de LOBSANN vivent principalement de l'exploitation forestière (bûcherons), de l'élevage (bergers), de cultures sur de petites parcelles et grâces aux moulins situés sur le « Marienbächel ».

La petite église construite en 1760 est d'ailleurs consacrée à Saint Wendelin, noble irlandais entré dans la vie monacale et devenu berger, venu avec d'autres moines christianiser l'Alsace au 7ème siècle.

En 1837, la communauté protestante du village (équivalente à la catholique) décide de construire une école et un lieu de culte sous un même toit. Le cimetière situé au bout du village en direction de Soultz date de la même époque. L'ancien, autour de l'église catholique, était devenu trop petit.

A la fin du 18ème, la découverte de couches de lignite puis l'asphalte bouleverse la vie des Lobsanniens.

La main-d'œuvre nécessaire à l'exploitation de la mine et la transformation en bitume est rapidement insuffisante sur place et même aux alentours.

Au milieu du 19ème de nombreux ouvriers viennent alors des régions périphériques (Sarre, Lorraine, Pays de Bade et Palatinat). On voit donc apparaître de nouveaux noms comme BARABINOT, BARRY, FIX (ou FIXE), JACQUES, KERN, MAGNETTE (ou MANIETTE), PHILBERT (ou PHILIBERT), ÜBINGER ou TROST.

Ci-après un poème (en langue allemande) rédigé par Jean-Baptiste JACQUES (1905-1991) résumant clairement l'influence de la mine sur la population locale.

En 1898 est construit le château de Lobsann qui sert de résidence secondaire et de lieu de réception au couple Von STICHANER originaire du Palatinat. Lui, Sous-Préfet, s'intéresse à la restauration de monuments de la région et lègue toute sa bibliothèque à la ville de Wissembourg. Elle pourvoie à l'instruction des enfants et s'occupe des trousseaux des filles et de la layette des nouveaux-nés. Elle laisse le souvenir d'une grande dame au point qu'aujourd'hui encore sa tombe du cimetière Sainte-Hélène de Strasbourg est fleurie par certaines familles de Lobsann.

Lobsann, voit sa population s'accroître rapidement jusqu'en 1950, année de la fermeture de la mine qui n'était plus rentable.

Texte rédigé avec l'aimable collaboration de Madame Denise WEINLING de Lobsann.

Etymologie

als. Lüsànn ; Lubesaha IXe siècle, Lausen, Luzann XVIIe et XVIIIe siècles. > "le terrain glissant, instable". de la racine paléo-européenne LUP/LUB "contenant un mouvement en soi" < "terrain instable, glissant". Etymon de type *Lupacum, avec suffixe -acum confondu avec germ. -ach et développement d'un -s géniti. Le suffixe actuel s'explique peut-être par un contraction d'un développement de -ach en -achen. Influence de l'all. Lob "louange" peu vraisemblable.

Source : La grande encyclopédie des lieux d'Alsace - Michel Paul URBAN

Blason

Lobsann

Écartelé : au premier et au quatrième de sinople aux trois fasces d'argent, au deuxième et au troisième d'or au sautoir de sable

Armorial des communes du Bas-Rhin

Travaux réalisés

Dépouillement des Naissances, Mariages et Décès (Auteur : Bernard JACQUES)

lobsann ecn  lobsann ecm  lobsann ecd

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Commune

Administration ancienne

souveraineté 1789, royaume de France
1790, Bas Rhin
département

1793, Bas Rhin
1801, Bas-Rhin
1871, Bas-Rhin (Allemagne)
1919, Bas-Rhin

district 1793, Wissembourg
arrondissement 1801, Wissembourg
1871, Kreis Weissenburg (Wissembourg)
1919, Wissembourg]
canton 1793, Soultz
1801, Soulz-sous-Forêts
municipalité 1793, Lobsann

Population

Année - Nombre 1841 657 1876 399 1911 448 1962 505
1793 314 1846 641 1881 429 1921 467 1968 538
1800 355 1851 620 1886 354 1926 486 1975 510
1806 445 1856 524 1891 333 1931 480 1982 491
1821 608 1861 491 1896 347 1936 486 1990 579
1831 674 1866 487 1901 368 1946 462 1999 496
1836 633 1872 421 1906 387 1954 474 2006 586

Source : Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui

Maire

2001 - ..... Alfred KREISS

Paroisse

Catholique

Paroisse du CHAPITRE RURAL du BAS-HAGUENAU, Eglise paroissiale Saint-Wendelin

Annexe de Kutzenhausen et de Soultz-sous-Forêts

Protestante

Annexe de Lembach (pendant la guerre de 30 ans) et de Soultz-fous-Forêts.

Source : Adeloch

En 1837, fut édifié une Eglise-école par la commune au bénéfice de la paroisse protestante, ce qui mit fin au simultaneum dans ce village et permit de scolariser les enfants protestants dans un lieu spécifique. La situation prit fin en 1974. Elle a aussi abrité le logement de l'instituteur. L'église de Lobsann est actuellement une annexe de Soultz.

Page-en-Construction

 

 

Adresse

2, route de Woerth
67250 Merkwiller-Pechelbronn

Horaires d'ouverture

Du Lundi au Vendredi : de 08h00 à 12h00
Le Samedi : de 09h00 à 11h00

Contacts

Téléphone : +33 3 88 80 77 85
Télécopie : +33 3 88 80 90 25
Courriel : mairie.merkwiller [ à ] wanadoo.fr

mairie merkwiller 

Arrondissement : Wissembourg

Canton : Soultz-sous-Forêts

Code commune : 67290

Habitants : Merkwillerois, Merkwilleroise

La commune de Merkwiller est née en 1888 à partir de celle de Kutzenhausen. Son nom actuel de Merkwiller-Pechelbronn a été officialisé en 1922. Le bourg de Hoelschloch y est rattaché.

Quelques images

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Collection privée

 Aperçu historique

 La première mention de la localité sous le vocable de « Marcaberga » date de 742. L'abbaye de Wissembourg y possédait alors quelques arpents de terre. Au début du XIVème siècle Merkwiller était intégré au bailliage de Kutzenhausen qui relevait du fief des ETTENDORF inféodé aux sites de FLECKENSTEIN. Ces derniers, outre des droits sur les dîmes, les cours d'eau et les pâturages, détenaient également le droit de ban et de haute justice comme fief d'Empire. Vers 1350, ces possessions passèrent de la lignée des FLECKENSTEIN-SOULTZ à celle des FLECKENSTEIN-DAGSTUHL (cf. Fleckenstein). L'abbaye de Koenigsbruck acquit en 1482 une part des dîmes en vin et en grain non inféodée, qu'elle conservera jusqu'à la Révolution. Les LICHENTENBERG détenaient également quelques prérogatives.

Sur le plan paroissial, Merkwiller relevait de la paroisse de Kutzenhausen où les FLECKENSTEIN introduisirent la Réforme vers 1550. Durant la Guerre de Trente Ans, la région subit à maintes reprises des méfaits ce qui contraignit, semble-t-il ANNE-SIBYLLE de FLECKENSTEIN-DAGSTUHL, dernière représentante de cette noble lignée, à céder ses biens allodiaux situés à Merkwiller et dans le bailliage de Kutzenhausen au compte palatin CHARLES-GUSTAVE de CLEEBOURG. Ainsi la localité passa en 1705 aux princes de HANAU-LICHTENBERG puis en 1736 aux HESSE-DARMSTADT.

La Révolution fi de l'ancien bailliage et paroisse de Kutzenhausen une seule commune. De ce fait, dès décembre 1789, le siège administratif était fixé à Nieder-Kutzenhausen dont dépendait alors les annexes, de Ober-Kutzenhausen, Feldbrach, Merkwiller et Hoelschloch. Cependant dès 1835la population de Merkwiller survoltée ans doute par l'exploitation pétrolière alors en plaine expansion formula des prétentions d'autonomie. Mais cette revendication, reprise épisodiquement, ne devait aboutir qu'après l'annexion allemande. Ainsi le 11 mai 1888, une ordonnance du président du district de Basse-Alsace, érigea les hameaux de Merkwiller et de Hoelschloch en une commune indépendante dont le centre administratif fixé à Merkwiller. Les opérations de partage avec Kutzenhausen s'achevèrent en 1890 mais laissèrent subsister jusqu'à nos jours un certains nombre de propriétés communales indivises notamment les forêts. Ce ne fut qu'en 1922 que la commune de Merkwiller pris la dénomination de Merkwiller-Pechelbronn.

J-L. V.

Les villageois sont surnommés Hammelswade (jarrets de moutons). Schwellerutscher (ceux qui glissent sur les billes en bois ou les bois de traverses). Schmierlottel (personnes sales, couvertures de graisse noire, ou d'huile ou d'une sorte de goudron ou de pétrole), ce dernier sobriquet est dû à la proximité de Pechelbronn dit Schmierhütt, où travaillaient beaucoup d'hommes de Merkwiller.

Le personnage le plus pittoresque et la plus connu de la région est le Karischschmiermann (le marchand de cambouis), en boue et en sabots, poussant devant lui une brouette surmontée d'un fût en bois e faisant la navette entre Merkwiller et la raffinerie de pétrole. Le Bel et les villages voisins (Schoenenbourg, Hunspach, Seebach, Oberlauterbourg, Cleebourg, Lembach...). Dans les fermes, il versait un litre de graisse noire mesurée, dans les récipients préparés : cette graisse ou Karichschmier servait à graisser les attelages et les machines des exploitations agricoles. Ce « colporteur » s'appelait LOUIS HEBTING, était né en 1854 à Preuschdorf. Le grand peintre alsacien Louis-Philippe Kamm fit son portrait en 1928 : le tableau se trouve aujourd'hui à la mairie de Merkwiller, dans la salle des délibérations.

M.D.

Bibliographie : CHAMBRIER P. de Historique de Pechelbronn (1498-1918), Paris-Neuchâtel, 1919 ; VONAU J.L. « La curieuse histoire de la commune de Merkwiller », in Les Vosges N° 2/84, pp 8-14.
ENCLYCLOPEDIE D'ALSACE

Blason

Merkwiller-Pechelbronn

 « De gueules à la bande d'argent, côtoyée de deux cotices flammées du même, accompagnée en chef d'une lettre M et en pointe d'une lettre P onciales d'or. »

Armorial des communes du Bas-Rhin

Etymologie

MERKWILLER

Alsace, Merikwiller, Marcaberga 742, Margbergvillare 769 « le domaine de la marche ». Du vieil allemand marka « frontière , marche » a été très employé à l'époque carolingienne pour désigner des zones de protection militaire à proximité d'une frontière et -willer emprunté au gallo-roman -villare « domaine », qui s'est lui-même ajouté à –berg « montagne » (ou du gaulois briga « place-forte ») ou bien l'a remplacé. Attraction de l'als. Merik « marché », all. Markt

PECHELBRONN

Alsace, Pechelbrunn ; Bechelbronn 1498, Baechelbronn 1734, « la fontaine de poix ». De l'allemand Pech « poix, bitume » et Brunn(en) « source ». Le rapport avec als. Bächel, diminutif de Bàch « ruisseau », ne serait pas pertinent. C'était le nom que donnaient les habitants de Lampertschloch à la source d'eau entraînant un filet de pétrole brut. Un puits fut exploité à partir de 1740, puis une raffinerie ouverte à Merkwiller de 1889 à 1970.

Lieux dits – Dictionnaire étymologique et historique des noms de lieux en Alsace
Editions du Rhin – Michel Paul URBAN

Travaux réalisés

Dépouillement des Naissances, Mariages, Décès (Auteurs : Adrienne et + Guy STEIN)

merkwiller nmd

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Commune

Commune créée en 1888 ; pour la période antérieure consulter Kutzenhausen

Maires

2001 - 2008 Paul SCHIELLEIN
2008 - Nestor CONUECAR
2014 - Dominique SCHNEIDER

Paroisse

Paroisse catholique : annexe de Kutzenhausen et de Surbourg ; voir aussi Woerth

Source : répertoire du clergé d'Alsace sous l'ancien régime 1648 - 1792 (A262 - AD67) & Adeloch

Paroisse protestante : annexe de Kutzenhausen

Source : Adeloch

 

Adresse

40, rue Principale
67580 Laubach

Horaires d'ouverture

Le Mardi : de 10h00 à 12h00
Le Jeudi : de 17h00 à 19h00

Contacts

Téléphone : +33 3 88 90 31 05
Télécopie : +33 3 88 90 31 05
Courriel : mairie.laubach [ à ] free.fr

 

 

 

 

 mairie laubach

Arrondissement : Wissembourg
Canton : Woerth
Code commune : 67260

Quelques images

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Collection privée

Aperçu historique

Petit village voisin de la forêt de Haguenau, a 158 ames C., annexe d'Eschbach.

L’Alsace. Nouvelle description Historique et topographique des deux départements du Rhin, Jean-Frédérique Aufschlager - 1826

(Lonunbuach 786), village du Bas-Rhin, arrondissement de Wissembourg, Canton de Woerth-sur-Sauer. 258 habitants (cath.)

Source : l'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire topographie, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin (auteur : BAQUOL - Edition entièrement refondue par P. RISTELHUBER - 1865)

Le village apparaît sous les dénominations successives de Lonenbuah en 745, Loubach en 1143, Lobachen 1158. Aux VIIIe et IXe siècles, l'abbaye de Wissembourg y possédait déjà des biens importants. En 1143, le comte Rainald de LÜTZELBURG fit don du village l'abbaye de Marmoutier.

C.F.
ENCYCLOPEDIE DE L'ALSACE - Editions Publitotal, Strasbourg, 1985

Etymologie

alsace ; Laubàch ; Louenbuah 745, Loubach 1145. >« l'endroit où le terrain est glissant ». D'un étymon Lavacum, formé sur la racine paléo-européenne LAW « contenant un mouvement en soi » > « terrain instable, glissant », suivie du suffixe -acum transformé en germ. –bach >> Laubach n'est pas situé sur un ruisseau : la solution « ruisseau tiède » (all. « tiède », Bach « ruisseau ») ne convient pas.

Lieux dits – Dictionnaire étymologique et historique des noms de lieux en Alsace
Editions du Rhin – Michel Paul URBAN

Blason

Laubach

« D'argent au fermail de gueules, sans ardillon. »

Armorial des communes du Bas-Rhin

Nos travaux

Dépouillement des mariages et publications de mariages (Auteurs : Alain KLEIN, Elisabeth BIRSINGER-MILLER)

LAUBACH ECM

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Travaux en cours

  • Naissances et décès

Commune

En 1789, la commune faisait partie d'un seigneurie particulière,  enclavée dans la préfecture ou grand-bailliage de Haguenau et dépendait du Séminaire de Strasbourg

Administration ancienne

souveraineté 1789, royaume de France
1790, Bas Rhin
département

1793, Bas Rhin
1801, Bas-Rhin
1871, Bas-Rhin (Allemagne)
1919, Bas-Rhin

district 1793, Wissembourg
arrondissement 1801, Wissembourg
1871, Kreis Weissenburg (Wissembourg)
1919, Wissembourg
canton 1793, Niederbronn
1801, Woerth
1871, Wörth (Allemangne)
1919, Woerth
municipalité 1793, Laubach

Population

Année - nombre 1841 218 1876 221 1911 249 1962 219
1793 138 1846 223 1881 241 1921 247 1968 235
1800 163 1851 244 1886 255 1926 240 1975 232
1806 140 1856 241 1891 238 1931 248 1982 240
1821 158 1861 258 1896 234 1936 217 1990 252
1831 204 1866 240 1901 245 1946 216 1999 275
1836 232 1872 223 1906 236 1954 204 2006  

Source : Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui

Le nom

ancien(s)

Louenbuah 745, Lonunbuach 786, Loubach 1145

an II 1793

Laubach

Bulletin des Lois 1801

Laubach

Maires

1793 - 1799 Nicolas GARING
1799 - 1803 Frédéric KOCH
1803 - 1812 Antoine FOLTZ
1812 - 1813 Johan GÖTZ
1813 - 1819 Antoine FOLTZ
1819 - 1826 Joseph GRUSSENMEYER
1826 - 1834 Georges GARING
1834 - 1837 Ignace GARING
1837 - 1840 Ignace KLIPFEL
1840 - 1865 Nicolas OHLMANN
1865 - 1876 Nicolas GRUSSENMEYER
1876 - 1893 WINLING Joseph cultivateur (° 1842 + 1908)
1893 - 1909 Ignace KIEFFER + 12/05/1909
1909 - 1913 KLIPFEL
1913 - 1914 WINLING
1914 - 1920 KIEFFER
1920 - 1924 WINLING
1924 - 1934 HELMER
1934 - 1941 Emile WINLING
1941 - 1944 Joseph FLEISCH
1944 - 1953 Louis HELMER
1953 - 1954 Joseph KLEIN
1954 - 1959 Charles HELMER
1959 - 1965 Xavier KLIPFEL
1965 - 1989 Louis HELMER
1989 - 2001 Jean Pierre WINLING
2001 - 2008 Jean Pierre WINLING
2008 -  Jean-Louis KLIPFEL

 Sources : Archives communales

Paroisse

eglise laubachLa première église de Laubach était en fait une chapelle, l'église Saint Joseph date de 1821.

CHAPITRE RURALE du HAUT-HAGUENAU, annexe d' ESCHBACH

 Source : répertoire du clergé d'Alsace sous l'ancien régime 1648 - 1792 (A262 - AD67)

Walbourg, Durrenbach et Laubach appartenaient à l'abbaye bénédictine de Walbourg. Celle-ci fut incorporée en 1546 à la prévôté de Wissembourg ; mais en 1684 le conseil souverain ayant annulé cette incorporation, les revenus de l'ancienne abbaye, donc aussi les sus-dits villages, furent affectés par lettres-patente du cardinal Furstenberg au Séminaire épiscopal de Strasbourg.

Source : État de l'Eglise d'Alsace avant la Révolution, Volume 1 Par Modeste SCHIKELE - 1877

 

 

 

Disparus de la guerre

Les « Malgré-nous »

Au cours de la guerre, les pertes allemandes ne cessent d'augmenter. C'est principalement le front de l'Est qui est le plus meurtrier. Il faut donc remplacer ces troupes et maintenir les effectifs. Les volontaires ne sont pas suffisants. Il faudra par conséquent incorporer au sein de la Wehrmacht des soldats non Allemands.

Le 9 mai 1941, Wagner introduit le RAD (Reicharbeitdients), obligatoire pour les jeunes Alsaciens et Alsaciennes, et qui précède l'incorporation dans les forces armées.

Par décret du 25 août 1942, le Gauleiter d'Alsace Robert Wagner avait décidé d'enrôler contre leur gré certaines classes d'Alsaciens et Mosellans dans la Wehrmacht, en flagrante violation de la Convention de La Haye. 130.000 jeunes gens originaires des départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle furent ainsi incorporés de force ! Les protestations de Vichy, faibles, n'auront aucune effet.

Au total, 100 000 Alsaciens et 30 000 Mosellans (sans oublier les 10 000 Luxembourgeois) furent incorporés de force dans la Wehrmacht. 40 000 d'entre eux sont morts ou portés disparus...

Des milliers de jeunes Alsaciens fuient la région, malgré l'interdiction et les représailles. Ceux qui sont arrêtés sont envoyés au camp du Struthof où ils sont exécutés. Leurs parents sont internés au camp de Schirmeck puis déportés en Allemagne, leurs biens sont saisis.

Dès octobre 1943, une ordonnance responsabilise officiellement les familles en cas de désertion. Celles-ci sont transplantées en Silésie, sont condamnées aux travaux forcés, les biens sont également confisqués. Au sein des unités, les Alsaciens-Mosellans qui tentent de se rebeller sont au mieux envoyés en « rééducation » au camp de Schirmeck.

La plupart des Alsaciens-Mosellans incorporés dans la Wehrmacht ont été envoyés sur le front de l'Est, généralement dans la Heer, où il était impossible de déserter : d'une part le risque des représailles exercées sur le soldat et sa famille, et d'autre part le fait que les troupes russes ne distinguaient pas Alsaciens et Allemands.

Après la guerre, le rapatriement se fait lentement, le dernier soldat alsacien étant rentré en France en avril 1955.

Mais en 1948, 10.000 d'entre eux étaient toujours portés disparus.

C'est à cette date, en 1948 donc, que l'Association des Déserteurs, Evadés et Incorporés de Force (A.D.E.I.F) publie un "Recueil photographique des disparus du Bas-Rhin victimes de la conscription allemande de 1942 à 1945". Ces deux fascicules, édités à 100.000 exemplaires, se voulaient être un outil pour aider à les localiser puis surtout à les rapatrier.

Vous trouverez ici les disparus qui étaient nés ou qui y avaient été domiciliés dans cette commune.

Laubach GRUSSENMEYER Xavier

GRUSSENMEYER Albert Emile, soldat

fils de GRUSSENMEYER Emile (°1865),  cultivateur,
et de DAPP Elisabeth (°1866).

Né le 14/12/1909 à Laubach (67), France
décédé le 11/11/1944 aux armées (jugement du 06/06/1951)
domicilié à Laubach (67), France

Il était âgé de 41 ans

En marge de son acte de naissance, on trouve la mention au crayon appelé Xavier

Laubach KLIPFEL Edouard


KLIPFEL Edouard Ignace Joseph, soldat (grenadier)

fils de KLIPFEL Joseph (°1882),  Cultivateur,
et de KIEFFER Clémentine (°1884).

Né le 17/11/1911 à Laubach (67), France,
décédé le 01/09/1944 à Tartu, Estonie (*)
domicilié à Laubach (67), France

Il était âgé de 32 ans

 

(*) nom actuel de la commune, Dorpat sous domination allemande

Monument aux morts

monuments aux morts Laubach

 

Ils ont participé à la guerre en 14/18 ...

Cette liste n'est pas exhaustive, c'est le résultat des travaux de recherches dans les différentes archives dont nous disposons, certains ont continué leur chemin, d'autres, hélas ont offert leur jeunesse et leur vie  :

GRESS Joseph, Soldat,
fils de GRESS Léonard (°1863),  Cultivateur,  Journalier,
et de GRIESBACH Marie Françoise (°1864).
Né le 09/07/1896 à Laubach (67), France,
décédé le 03/12/1969 à Brumath (67), France,
domicilié à Laubach (67), France
époux de STRAUSSEISEN et de SONNTAG Louise .

Infanterie Regiment Nr 423 12 kompagnie (Fortf)
GREß Joseph 9.7.96 Laubach, Weißberg i. Els., vermist (porté disparu)
(Liste du 02/12/1918, page 28036, ausgabe 2234)

† GRESS Nicolas, soldat
fils de GRESS Léonard (°1863),  cultivateur,  journalier,
et de GRIESBACH Marie Françoise (°1864).
Né le 11/07/1894 à Laubach (67), France,
décédé le 03/05/1915 à Ardouil
domicilié à Laubach (67), France

Il était âgé de 20 ans

Reserve Infanterie Regiment Nr 17 Geschte vom 12 bis 20 III 15 - I Bataillon 1 Kompagnie
Musk. Nicolaus Gräß - Laubach Weisenburg - schwer verwundet (grièvement blessé)
(Liste du 12/04/1915, page 5822, ausgbe )

 

GRUSSENMEYER Albert, Soldat,
fils de GRUSENMEYER Ignace (°1858),  Cultivateur,
et de SCHNEIDER Marie Anne (°1859).
Né le 15/01/1890 à Laubach (67), France, 
domicilié à Laubach (67), France,.

GRUßENMEYER Albert, Vzmachtm. Vizewachtmeister - 16.1, Laubach, Weißenburg - vermißt (porté disparu)
(Liste du 24/10/1918, page 27156, ausgabe 2170)

† HAENDLER Emile, soldat
fils de HAENDLER Joseph (°1835 +1907), Laboureur, Cultivateur
et de KLIPFEL Madeleine (°1861).
Né le 03/08/1880 à Laubach (67), France,
décédé en 1914
domicilié à Laubach (67), France

Il était âgé de 33 ans

Wehrmann Emile Händler - Laubach, Weißenburg - tot
(Liste du 21/10/1914, page1592, ausgabe 127)

HELMER Henri,  soldat,
fils de HELMER Louis (°1851),  Cultivateur, 
et de KIEFFER Madeleine (°1849).
Né le 16/04/1894 à Laubach (67), France,
décédé le 18/10/1987 à Eschbach (67), France,
domicilié à Laubach (67), France

Intanterie Regiment 138 III Bataillon 10 Kompagnie
Heinr. HELMER - Laubach, Weißenburg - schwer verwundet (grièvement blessé)
(Liste du 01/06/1915,  page 6646, ausgable 513)

 

HELMER Louis,  soldat, Ancien cultivateur,
fils de HELMER Louis (°1851),  cultivateur,
et de KIEFFER Madeleine (°1849).
Né le 09/11/1892 à Laubach (67), France,
décédé le 03/12/1973 à Laubach (67), France,
domicilié à Laubach (67), France
Uni avec SCHMITT Catherine

HELMER Ludwig - 9. 11 - Laubach, Weißenburg, vermißt (porté disparu)
(Liste du 22/08/1918, page 25768, ausgabe 2063, Liste Preußen 1222)

† HERBER Joseph,  cultivateur,
fils de HERBER Ignace (°1856 +1911),  cultivateur,
et de KLIPFEL Julienne (°1856 +1927), cultivatrice.
Né le 22/04/1896 à Laubach (67), France,
décédé le 31/12/1916 à Kosken, Kreiz Posen
domicilié à Laubach (67), France

Il était âgé de 20 ans

Herber Josef 23.4.96 Laubach, Weißenburg, + infolge Krankheit (décédé de suite de maladie)
(Liste du 24/02/1897, page 17670, ausgabe 1382, Liste Preußen 768)

KIEFFER Albert,  soldat, Ancien cultivateur,
fils de KIEFFER Aloyse,  Cultivateur,
et de KOHLER Madeleine.
Né le 24/02/1889 à Laubach (67), France,
décédé le 27/08/1972 à Laubach (67), France,
domicilié à Laubach (67), France. 
Uni avec DURRENBERGER Anne Marie

Réservist Albert Kiefer, Laubach, Kreiß Weißenburg, vermißt (porté disparu)
(Liste du 29/09/1914, page 622, ausgabe 59)

KIEFFER (nicht KIEFER) Albert - 24.2.89, Laubach, bisher vermist in Gefangenschft (jusqu'ici porté disparu, en captivité)
(Liste du 01/06/1917, page 18779, ausgabe 1477, Liste Preußen 847)

† KIEFFER Edmond, soldat
fils de KIEFFER Aloyse (°1854),  Cultivateur,
et de KOHLER Madeleine (°1854 +1922).
Né le 09/07/1894 à Laubach (67), France,
domicilié à Laubach (67), France

Il était âgé de 20 ans

Musketier Edmund KIEFFER, Laubach, Weißenburg, vermißt (porté disparu)
(Liste du 16/04/1915, page 5932, ausgabe 453)
Infanterie-Regiment Nr.149 - I Bataillon - 3. Kompagnie

KIEFFER Georges, soldat
fils de KIEFFER Aloyse (°1854),  Cultivateur,
et de KOHLER Madeleine (°1854 +1922).
Né le 10/03/1892 à Laubach (67), France,
domicilié à Laubach (67), France
époux de SCHNELLER Marie Anne

Sergent KIEFER Georg, 10.3.92, Laubach, Weißenburg, Laubach, Weißenburg, leicht verwundet (légèrement blessé)
(Liste du 03..02.1919, page 29014, ausgabe 2317)

KIEFFER Louis, soldat
fils de KIEFFER Joseph (°1845 +1903),   Cultivateur,
et de BRUDER Marie Anne (°1850).
Né le 22/05/1892 à Laubach (67), France, r
domicilié à Laubach (67), France

 

 

 

 

Musketier Ludwig KIEFFER, Laubach, Weißenburg, leicht verwundet
(Liste du 04/11/1914, page 2234, ausgabe 171)
Intanterie-Regiment Nr.160, II Bataillon Bonn, 5 Kompagnie

KIEFER Ludwig, Laubach, Weißenburg, vermißt
(Liste du 03/07/1915, page 7380, ausgabe 569)
Reserve-Infanterie-Regiment N. 253- I Bataillon, 1. Kompagnie

KIEFER Ludwig, Laubach, bißher vermißt, in Gefagenschaft (jusqu'ici porté disparu, en captivité)
Berichtigung früherer Angagen
Reserve-Intanterie-Regiment N. 253, 1.Kompagnie

† KLIPFEL Aloyse

fils de KLIPFEL Michel (°1840 +1892),  cultivateur,
et de GARING Marie Anne (°1842 +1909).

Né le 06/04/1889 à Laubach (67), France,
décédé le 13/06/1915 à Wikowschschisina
domicilié à Laubach (64), France

Il était âgé de 26 ans

Rerserve Infanterie Regiment 137 10 Kompagnie
Reservist Alois Klipfel - Laubach, Weissenburg - gefallen (mort au combat)
(Liste du 04/05/1915, page 6205, ausgabe 476)

 

NAGEL Alphonse,  Soldat , Cantonnier aux chemins de fer,
fils de NAGEL Georges (°1859 +1909),  Cultivateur,
et de STREBLER Marie Eve (°1856).
Né le 01/09/1887 à Laubach (67), France,
domicilié à Laubach (67), France,.

Nagel Alfons -Laubach- Weißenburg - vermist
(Liste du 04/12/1915, page 10543, ausgabe 820)

Nagel Alfons  - Laubach - bisher vermist, in Gefangenschaft (jusqu'ici porté disparu, en captivité) Grenadier regiment 3 - 10 kompagnie
(Liste du 20/01/1916, page 11055, ausgabe 861)

Nagel Alfons - Laubach - Bisher vermist, in Gefangenschaft
Grenadier regiment 1 - 10 Kompagnie
(Liste du 26/01/1916, page 11119, ausgabe 866)

† WINLING Michel

fils de WINLING Louis (°1867),  cultivateur,
et de KLIPFEL Catherine (°1867 + 1951).

Né le 27/06/1893 à Laubach (67), France,
décédé le 04/07/1915 à Sosnowa-Wola
domicilié à Laubach (67), France

Il était âgé de 22 ans

Reserve Infanterie Regiment N.220 III Bataillon 12 Kompagnie
Winling Mickael - Laubach, Weißenburg - gefallen
(Liste du 13/08/1915, page 8150, ausgabe 633)

Source : archives municipales - http://des.genealogy.net

Ils ont participé à la guerre de 1939-1945

complément à la liste des disparus

† LEHMANN François Xavier, soldat
fils de LEHMANN Michel et de RITT Marie
né le 25/08/1919 à Laubach
dédédé le 02/02/1944 à Aluschokowo (Lituanie)

Il était âgé de 24 ans

 
 † HAETTEL A.  

Adresse

20, rue Principale
67240 Kaltenhouse

Horaires d'ouverture

Du Lundi au Mardi : de 08h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00
Le Mercredi : de 09h00 à 12h00 ( Fermé le mercredi après-midi )
Le Jeudi : de 08h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00
Le Vendredi : de 08h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00

Contacts

Téléphone : +33 3 88 63 21 05
Télécopie : +33 3 88 63 74 04
Courriel : mairie.kaltenhouse [ à ] wanadoo.fr

 

 

mairie kaltenhouse ebm 

Arrondissement : Haguenau
Canton : Haguenau
Code commune : 67230
Habitants : Kaltenhousien(ne)s

Quelques images

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Collection privée

Aperçu historique

Kaltenhausen,  village du Bas-Rhin, arrondissement et canton de Haguenau, sur le chemin de Bischwiller à Haguenau. Il y a une vingtaine d'année la pauvreté traditionnelle régnait à Kaltenhausen, qui était habité en grande partie par les délinquants de forêt ; aujourd'hui grâce aux fabriques de Bischwiller et surtout à la plantation du houblon, les habitants jouissent d'une aisance relative. Fabriques de tuiles et chaux. 1050 habitants (1046 cath., 4 luth.).

Il ne faut confondre ce village avec celui du même nom qui se trouvait situé au pied du fort primitif de Bitche et fut brûlé en 1447 par le comte Jacques de La Petite-Pierre, en guerre avec Frédéric de Bitche.

Source : l'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire topographie, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin (auteur : BAQUOL - Edition entièrement refondue par P. RISTELHUBER - 1865)

Etymologie

als. Kàltehüse > " la maison froide ". De l'allemand kalt " froid " et Haus " maison ". Autre explication " la maison de l'abri ". D'un radical *kalt-, issu de la racine pré-indo-européenne KL-T, avec le sens de " fermer, abri "

Source : La grande encyclopédie des lieux d'Alsace - Michel Paul URBAN

Blason

 Kaltenhouse

Armorial des communes du Bas-Rhin

Travaux en cours

Dépouillement des

  • Baptêmes, Mariages et Sépultures (Auteur : Elisabeth BIRSINGER-MILLER)
  • Naissances, Mariages et Décès (Auteurs : Elisabeth BIRINGER-MILLER & Irène WEHINGER)

En attente de publications

  • Livre des familles (en cours)

Les dépouillements sont consultables dans notre base de données (consultation réservée aux membres).  

Vous avez besoin d'aide, n'hésitez pas à nous contacter icon-48-contacts, nous nous ferons un plaisir de vous aider.

Commune

En 1789, le village faisait partie d'une seigneurie particulière, dépendant de la ville de Haguenau.

Administration ancienne

souveraineté 1789, royaume de France
1790, Bas Rhin
département

1793, Bas Rhin
1801, Bas-Rhin
1871, Bas-Rhin (Allemagne) 
1919, Bas-Rhin

district 1793, Haguenau
arrondissement 1801, Strasbourg
1871, Kreis Haguenau
1919, Haguenau]
canton 1793, Haguenau
1801, Haguenau
municipalité 1793, Kaltenhausen

Population

Année - Nombre 1841 883 1876 1 042 1911 1 073 1962 1 396
1793 482 1846 921 1881 1 086 1921 1 017 1968 1 567
1800 306 1851 999 1886 1 112 1926 1 047 1975 1 608
1806 511 1856 987 1891 1 015 1931 1 026 1982 1 640
1821 706 1861 1 050 1896 1 138 1936 1 048 1990 1 695
1831 770 1866 1 230 1901 1 115 1946 872 1999 1 897
1836 873 1872 1 156 1906 1 114 1954 1 066 2006  

Source : Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui

Maires

1800 - 1804 NEY
1804 - 1812 Mathieu KOLMER
1812 - 1816 Jean Adam KRAEMER
1816 - 1843 Antoine MEYER
1843 - 1848 Louis HARTER
1848 -  NAGELDINGER
1852 -  Adam KRAEMER
1853 - 1862 Paul MIRSCHLER
1862 - 1874 Joseph KLIPFEL
1874 - 1878 Joseph MEYER
1878 - 1907 Antoine DIRHEIMER
1907 - 1918 Philippe KRAEMER
1918 - 1945 Emile KRAEMER
1945 - 1971 Emile FLECK
1971 - 1984 Robert COTTE
1984 - 1989 René RICK
1989 - 2008 Charles CLODY
2008 -  Etienne VOLLMAR

Sources : archives communales

Paroisse

 eglise kaltenhouse ebm

Eglise paroissiale Saint-Wendelin

Une première chapelle Saint-Wendelin, filiale de Saint-Georges de Haguenau, est érigée dans le village en 1442. Un prêtre, chargé de dire deux messes par semaine est nommé en 1467, mais ce n’est qu’en 1751 que la paroisse est créée.

Paroisse du CHAPITRE RURALE du HAUT-HAGUENAU

Annexe de Haguenau Saint Georges érigée en paroisse le 12/08/1751 (Grandidier, diocèse de Strasbourg, page 442)

Collateur : magistrat de Haguenau

Registre paroissiaux : disparus

 

 

 

 

 

Curés

1751 - 1784 Charles Antoine OBERLIN de Rouffach
1784 - 1793 Joseph Christian LOYSON de Haguenau

 Source : répertoire du clergé d'Alsace sous l'ancien régime 1648 - 1792 (A262 - AD67)

281 KALTENHOUSE

  • 1802 Schmitz Jean-Baptiste, 625 
  • 1804 franc. Fuchs Jean, 661
  • 1806 cap. Zaengel Thiébaut, 305
  • 1807 Dodeck Pierre, 64
  • 1809 Schyères Benoît, + 1814
  • 1814 235 Rebété Georges, 672
  • 1820 Pal. Sonntag Florimond, 597
  • 1821 430 Huber André, 659
  • 1822 668 Fritsch Jean, 277
  • 1825 430 Monné François, qui + 1856
  • 1840 164 Muller Etienne, + 1841
  • 1841 268 Kapps Jean, + 1843
  • 1843 485 Giltwiller Joseph, 401
  • 1850 551 Rudloff Joseph, + 1868
  • 1868 39 Lorber Antoine, 437
  • 1876 249 Hartmann Philippe, 519
  • 1890 390 Débus Antoine 154
  • 1898 611 Bohn Joseph, 513
  • 1905 388 Zimmermann Léon, 64
  • 1911 608 Morelle Alphonse, aum.
  • 1919 617 Kintz Félix, 346 -
  • 1926 617 Kieffer Aloïse.

 Année d'arrivée, numéro de la paroisse de provenance, dernier numéro paroisse de destination

Source : Le clergé séculier et régulier de l'Alsace depuis la révolution (Charles Kieffer Ancien archiviste de l'évêché de Strasbourg) - (A259 - AD67)

Les registres tenus depuis 1739 ont été détruits dans l'incendie du tribunal de Strasbourg (1870). Les doubles de l'état-civil (1793 - 1869) ont également été détruits.

Source : Adeloch

KALTENHAUSEN déservit par les chapelains de Saint Georges de Haguenau fut érigé en paroisse, en l'année 1751. Le village faisait partie du domaine de la ville de Haguenau.

Source : État de l'Eglise d'Alsace avant la Revolution, Volume 1 Par Modeste Schickelé

MONUMENTS AUX MORTS

monuments morts kaltenhouse

 

 Page-en-Construction

 

Adresse

1, rue Principale
67250 Aschbach

Horaires d'ouverture

Le Lundi : de 14h00 à 17h00
Le Mercredi : de 14h00 à 17h30
Le Vendredi : de 09h00 à 12h00

Contacts

Téléphone :+33 3 88 80 00 61
Télécopie : +33 3 88 80 00 61
Courriel : mairie.aschbach [ à ] wanadoo.fr

 

 

Arrondissement : Wissembourg

Canton : Soultz-sous-Forêts

Code commune : 67012

Habitants : Aschbachois, Aschbachoises

Images

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Collection privée

Aperçu historique

commune du Bas-rhin, arrondissement de Wissembourg, canton de Seltz, traversé par le chemin d'inter. comm. n° 45 d'Oberseebach à Hatten. 664 habitants (cath.)

Source : l'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire topographie, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin (auteur : BAQUOL - Edition entièrement refondue par P. RISTELHUBER - 1865)

Etymologie

 

Blason

Aschbach

« De sable aux trois bandes ondées d'or. »

L'armorial des communes du Bas-Rhin, Strasbourg

Paroisse

eglise aschbachParoisse du CHAPITRE RURAL de WISSEMBOURG. Annexe de Stundwiller

Source : répertoire du clergé d'Alsace sous l'ancien régime 1648 - 1792 (A262 - AD67)

L'église Immaculée Conception date de 1869

 

 

 

 

Curés

1872 MILTENBERGER Auguste
1881 PFISTER François Xavier
1892 ULRICH François Xavier
1893 TROESTER Antoine + 1908
1907 RITLENG Hippolyte
1912 STAUFFER Jules, aumonier
1920 HEFELE Miche

Source : Le clergé séculier et régulier de l'Alsace depuis la révolution (Charles Kieffer Ancien archiviste de l'évèché de Strasbourg) - (A259 - AD67)

 

 

 

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