Adresse11 rue Principale ContactTéléphone : 03 88 94 40 08
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Arrondissement : Wissembourg Canton : Wissembourg Code commune : 67284 Habitants : Mattstallois, Mattstalloise |
Mattstall est une ancienne commune française, située dans le département du Bas-Rhin et la région Alsace. Elle est une commune associée à Lembach. Une permanence est assurée
Blason
Adresse3, rue de l'École67250 Lampertsloch Horaires d'ouvertureLe Mardi : de 14h00 à 18h00Le Mercredi : de 09h00 à 12h00 Le Vendredi : de 16h00 à 19h00 ContactsTéléphone : +33 3 88 80 77 45
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Arrondissement : Wissembourg |
Collection privée
Lampertsloch appartenait aux PULLER de HOHENBOURG. Ces derniers le vendirent en 1337 aux LICHTENBERG. A leur disparition en 1480, il revint successivement aux DEUX-PONT-BITCHE, en 1570 aux HANAU-LICHTENBERG et enfin aux HESSE-DARMSTATDT en 1736. Au début du XVIe siècle, la paroisse de Lampertsloch apparaît dans différents documents et en 1570, lors de l'introduction de la Réforme, cette dernière relèvera de la paroisse de Preuschdorf. Un simultaneum a été instauré en 1763, celui-ci subsiste encore de nos jours. La dîme était perçue par le couvent de Koenigsbruck.
Ri.R.
ENCYCLOPEDIE DE L'ALSACE - Editions Publitotal, Strasbourg, 1985
(autrefois Lampiersloch), village du Bas-Rhin, arrondissement de Wissembourg, canton de Woerth. 433 habitants (215 cath., 218 luth.) Mine de fer, fabrique de tuiles, bon vignoble. On y trouve la maison d'école pour les deux cultes.
Dans une prairie, située entre ce village et celui de Merkwiller, est la source bitumeuse de Pechelbronn (Fontaine de poix). Elle est remplie à fleur de terre d'une eau sale sur laquelle nage un bitume noir d'une constitance huileuse et un peu tenace. Pendant longtemps, on c'était contenté de recueilleur la graisse qui surnageait, et on la vendait aux paysans des environs, qui s'en servaient principalement pour graisser les roues de leurs chariots. Wimpheling, qui écrivait en 1498,dit que depuis longtemps on se sert du bitume à Pechelbronn. En 1734, Eryn d'Erynnis, médecin grec, découvrit, à l'environ 180 pas de la source, une veine considérable de sable bitumeux, et en 1742 M. de la Sablonnière y établit la première fabrique de préparation du bitume. Elle fut vendue, en 1768, à M. Antoine LEBEL, dont la famille la possède encore aujourd'hui. Ce nouveau propriétaire se livra à beaucoup de recherches, et fit faire des fouilles pénibles qui mirent enfin à découvert, en 1784, un riche filon de sable bitumeux, entre deux bancs d'argile calcifère. Aujourd'hui les mines sont en pleines activités, et les minerais sont fournis par plusieurs veines puissantes, dont M. Antoine LEBEL a fait la découverte en 1839. Les produits qu'elles fournissent à l'industrie sont : 1° la graisse d'asphalte, produit naturel, contenant 60 à 80% d'huile de pétrole ; 2° graisse épaisse, expédiée en tonnes ; 3° graisse épaisse qu'on expédie en boîtes, qualité supérieure. On se sert de ces trois qualités pour graisser les roues, trains de voitures, machines à frottement etc. On retire de la graisse d'asphalte N° 1 les huiles naphte et de pétrole qui servent à l'éclairage, pour les machines à frottement et dans la préparation du caoutchouc, du bithume pour le masctic et des bitumes secs dit bithume de judée. Les deux derniers produits pouvent entrer avec les plus grands avantages dans la fabrication de mastic.
Les paysans des environs de Lampertschloch emploient la graisse d'asphalte pour graisser les sabots des chevaux ; ils l'appliquent sur les plaies des animaux, surtout l'été, lorsqu'ils sont tourmentés par les insectes ; ils s'en servent encore contre les brûlures, les inflammations, etc. Elle a en effet, une vertu calmante, garantit contre l'action de l'air et contre les piqures des insectes. Ils emploient l'huile de pétrole, qui contient du soufre, contre la gale et, avec plus de succès, contre les douleurs rhumatismales et arthriques.
Le domaine de M. LEBEL à Pechelbronn a acquis un autre titre à la publicité par de belles expériences auxquelles s'y est appliqué M. Boussingault, membre de l'Institut.
Source : l'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire topographie, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin (auteur : BAQUOL - Edition entièrement refondue par P. RISTELHUBER - 1865)
« Parti : au premier d'or à l'étoile de six rais d'azur en chef, au second d'azur plain. »
Armorial des communes du Bas-Rhin
alsace ; Làmpeschloch ; Vallis sanci Lamperti 1734 ► « le creux des Lombards » ou « de Lambert ». Avec le terme all. Loch « trou, creux », même étymologie que Lampertheim. ► ► Autres explications : 1) malgré sa date récente, la forme de 1734 laisse envisager le nom d'origine chrétienne d'un lieu dédié à Saint Lambert. Dans ce cas, le suffixe –loch pourrait ne pas avoir de rapport avec Loch « trou », mais ressortir au latin locus « lieu » et en particulier « lieu sacré ; 2) d'une racine paléo-européenne LA(M)B indiquant un « sol instable, glissant ». L'étymon dans ce cas pourrait être *Lambaracum. Le radical se retrouve à Lambesc (Bouches-du-Rhône) qui vient de Lamb-iscum.
Lieux dits – Dictionnaire étymologique et historique des noms de lieux en Alsace Editions du Rhin – Michel Paul URBAN
Dépouillement des mariages (auteur : Alain KLEIN)
Les dépouillements sont consultables dans notre base de données (consultation réservée aux membres). Il est aussi possible d'acquérir les publications
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ouveraineté | 1789, royaume de France 1790, Bas Rhin |
département | 1793, Bas Rhin 1801, Bas-Rhin 1871, Bas-Rhin (Allemagne) 1919, Bas-Rhin |
district | 1793, Wissembourg |
arrondissement |
1801, Wissembourg |
canton | 1793, Soultz 1801, Soulz-sous-Forêts [Soultz-sous-Forêts] 1802, Woerth 1871, Wörth 1919, Woerth |
municipalité | 1793, Lampertsloch |
ancien(s) | Lambersloch, Lampertsloch |
an II | 1793, Lampertsloch |
Bull. des Lois | 1801, Lampertsloch |
2001 - 2008 | Alfred STURM |
2008 - | Alfred THALMANN |
Sources : archives communales
Eglise de Tous-les-Saints, église luthérienne (simultaneum) fut consacrée au culte protestant en 1570, un simultaneum étant institué en 1763. Elle est encore aujourd'hui partagée entre les deux confessions.
Annexe de Goersdorf
Source : répertoire du clergé d'Alsace sous l'ancien régime 1648 - 1792 (A262 - AD67)
Annexe de Preuschdorf et de Surbourg
Adeloch
Annexe de Preuschdorf
Source : Protestants d'Alsace et de Moselle et Adeloch
Adresse27, rue Principale67250 Memmelshoffen Horaires d'ouvertureLe Lundi : de 15h00 à 17h00Le Jeudi : de 15h00 à 17h00 ContactsTéléphone : +33 3 88 80 41 03Télécopie : +33 3 88 94 82 04 Courriel : mairie.memmelshoffen [ à ] wanadoo.fr |
Arrondissement : Wissembourg Canton : Soultz-sous-Forêts Code commune : 67288 |
collection privée
En 1274 les quelques demeures composant le hameau de "Moemelhofen" appartiennent aux Seigneurs Puller de HOHENBURG et FLECKENSTEIN, vassaux de l'Archevêque de Cologne.
En 1351, le village est légué en copropriété aux PULLER, aux FLECKENSTEIN et aux DAHN.
Au 15ème siècle les LICHTENBERG ont droit de dîme à Memmelshoffen.
De 1489 à 1720 les Sires de la Baronnie de FLECKENSTEIN-BICKENBACH-SULZ sont propriétaires du village. En 1720 la Baronnie de Soultz, et donc Memmelshoffen, passe aux ROHAN SOUBISE.
La guerre de "Trente ans" dépeuple Memmelshoffen et tous les villages environnants. Les hordes suédoises laissent derrière eux friches et désolations.
Le village se repeuple peu à peu grâce à l'immigration. Des gens venus parfois de très loin ; de Prusse, du diocèse d'Augsbourg ou celui de Mayence, de Suisse ou du Tyrol. C'est ainsi que s'installe à Memmelshoffen, après un séjour à Walschbronn, Mathias BRENDEL (BRANTL ou BRANTLER) dont le fils François sera évêque de Strasbourg.
Ce tyrolien d'origine, marchand de bois donne un nouveau souffle au village et génère des activités artisanales Le nombre des menuisiers et bûcherons , STROHMEYER, V(F)OLTZENLOGEL DRIENDEL (qui devient TRENDEL), REICHHARD (ou REICHERT) URLACHER et FEHR (VEHR ou FOEHR) démontre l'importance de cette filière bois au début du 18ème siècle.
Les maçons EDER (ou ETHER) KNOLL et SIEGEL (ou SICHEL, SICKEL), les tisserands REITER (RITTER ou REUTHER) KLEIN, SCHEIDEL et ZOEPPFEL, le tanneur LOESCH, l'aubergiste WALTER, le tonnelier STOEPPIG (ou STEBIG), le tailleur ACKER, le cordonnier MULLER, le boucher HEID (HEITH ou HEIT) et les agriculteurs FEUERSTEIN (ou FIERSTEIN), HUMMEL, SCHILLINGER, NUSSBAUM, HOHL, GERARD (ou GERHARD), SCHUHLER et WENGER sont également les acteurs du renouveau.
Et, le moulin « WINTZENMUEHL » tourne à nouveau grâce à Jacques BONNEWITZ.
Les maîtres d'école WAGNER, REBSTOCK et KRAFT se succèdent pour éduquer les enfants de ces protagonistes, tous catholiques.
Quelques familles luthériennes RITZ, SCHAUB, TRAUTMANN, ROEGLER, LOTT, MAURER et UNGERER installées principalement au lieu-dit « Meisenthal » complètent le tableau.
En 1798, suite à la Révolution française Memmelshoffen devient une commune autonome du canton de Soultz et de l'arrondissement de Wissembourg, autonomie qu'elle ne perdra que sous l'occupation nazie entre 1941 et 1945 étant rattachée au village voisin, Keffenach.
Au 19ème siècle l'industrialisation, notamment les mines de Pechelbronn, apportent des ressources supplémentaires aux villageois.
La population est à son apogée en 1834, mais en septembre de la même année dix-huit décès sont à déplorer (moins de dix par an les années précédentes). Le choléra donc, l'émigration, les guerres et l'exode rurale réduisent continuellement la population jusqu'en 1980.
En l'an 2000, le village compte près de trois cents habitants, mais dont moins de 5% vivent de l'agriculture.
« Parti : au premier d'azur à l'étoile de six rais d'or, au second de sinople aux trois fasces d'argent. »
Armorial des communes du Bas-Rhin
Mämmelshoffe ; Meimelshoffen 1347. > "le domaine (la court) sur le mamelon". Peut avoir le sens géographique de "mamelon" (<latin mamma, dérivé mamilla (mamelle") ou de la racie paléo-européenne MAM signifiant "eau soutairaine, liquide affleurant" cp. als. memmle (boire goutte à goutte). Suffixe -hoffen traduisant -court
Lieux dits – Dictionnaire étymologique et historique des noms de lieux en Alsace
Editions du Rhin – Michel Paul URBAN
Dépoullement
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1945 - 1965 | Jean SCHILLINGER |
1965 - 1989 | Emile HUCHLER |
1989 - 2001 | Paul BATT |
2001 - | Georges ESCHENMANN |
Sources : Archives communales
Eglise Sainte Catherine
Annexe de Kutzenhausen
Annexe de Soultz-sous-Forêts
Adresse1, rue de l'École67250 Kutzenhausen Horaires d'ouvertureLe Lundi : de 10h00 à 12h00 et de 17h00 à 19h00Du Mardi au Mercredi : de 10h00 à 12h00 Le Jeudi : de 10h00 à 12h00 et de 15h00 à 17h00 Le Vendredi : de 10h00 à 12h00 ContactsTéléphone : +33 3 88 80 40 57
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Arrondissement : Wissembourg Canton : Soultz-sous-Forêts Code commune : 67254 |
(Chuzincusi 742) village du Bas-Rhin, arrondissement de Wissembourg, canton de Soultz-sous-forêts, sur la route départementale d'Ingwiller à Fort-Louis. Cette commune se compose de Niederkutzenhausen, Oberkutzenhausen, Merckwiller (autrefois Merchwiller), Hoelslochou Hoelschloch (autrefois Heidenslug ou Heilenloch), Feldbach et de deux moulins sur la Felsbach. 1040 habitants (316 cath. 673 luth. 54 isr.)
Kutzenhausen était autrefois le chef-lieu d'un bailliage appartenant aux Fleckenstein. La soeur du dernier seigneur de cette dynastie le vendit, en 1560 à Charles-Gutave, plus tard roi de Suède, qui en fit don, en 1656, à sa soeur Christine-Madeleine, épouse de Frédéric IV, margrave de Baden-Durlach, et au prince Charles-Gustave son neveu. La fille unique de ce dernier le vendit, en 1705, à la margrave d'Anspach, épouse de Jean-René, comte de Hanau-Lichtenberg, qui eut pour successeur le prince de Hesse-Darmstadt, dont la famille le conserva jusqu'à la révolution.
Source : l'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire topographie, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin (auteur : BAQUOL - Edition entièrement refondue par P. RISTELHUBER - 1865)
« Écartelé : au premier d'or au sautoir de sable, au deuxième de sinople à la gerbe de blé d'or, au troisième de sinople aux trois fasces d'argent, au quatrième de sable au soc de charrue d'or posé en barre la pointe vers le chef. »
Armorial des communes du Bas-Rhin
Dépouillement
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2001 - 2008 | Edmond FABACHER |
2008 - | Margaux WERHLE |
Sources : Archives communales
Paroisse protestante
Dénomination : Luthérienne - Simultanéum jusqu'à la construction de l'église catholique.
Membre de : Eglise protestante de la Confession d'Augsbourg d'Alsace et de Lorraine
Eglise Saint Georges.
Ancienne paroisse passée à la réforme en 1543, simultanéum, cure royale en 1693 (RL II,545), annexe de Soultz-sous-Forêts (Etat 1687) jusqu'en 1725
Paroisse en 1725 avec annexes Memmelshoffen, Mertkwiller et partie de Lobsann
Collateur : le Roi
Registres paroissieux : B 1713, M 1713, S 1713
1725 - 1733 | Jacques Antoine SCHABEL de Saverne |
1733 - 1745 | Charles TARDIEU |
1745 - 1785 | Jean Jacques RAUCH de Molsheim |
1785 -1793 | Joseph MEHL de Scherwiller |
Source : répertoire du clergé d'Alsace sous l'ancien régime 1648 - 1792 (A262 - AD67)
1803 | Chanoine François PAL |
1810 | HECTOR Michel |
1816 | BORNERT Michel |
1843 | MELLY Aloïse |
1876 | STEFFAN Jean Baptiste |
1883 | SCHEER Laurent |
1892 | MATHIS Ernest |
1895 | BREITENSTEIN Emile |
1907 | STRIEBEL Joseph |
1912 | FRTIZ Joseph |
1923 | BAECHTEL Joseph |
Source : Le clergé séculier et régulier de l'Alsace depuis la révolution (Charles Kieffer Ancien archiviste de l'évèché de Strasbourg) - (A259 - AD67)
NIEDERKUTZENHAUSEN (Chuzincusi, 842, Trad. Wiz.) était le chef-lieu de bailliage de la barronerie des Fleckenstein-Dagstule qui établirent la réforme en 1743 dans leur domaine. Les deux Kutzenhausen, Feldbach, Hoelschloch, Merkwiller, Mattsall et une partie de Lusan (Lobsann) appartenait au bailliage de Kutzenhausen, et tous ces villages, à l'exception de Mattstall, formaient une seule et même paroisse appelée Kirchspiel du Kutzenhausen.
Source : État de l'Eglise d'Alsace avant la Revolution, Volume 1 Par Modeste Schickelé
Adresse14, rue des Églises67250 Hoffen Horaires d'ouvertureLe Lundi : de 14h00 à 18h00Le Mardi : de 09h00 à 12h00 Le Jeudi : de 09h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00 Le Vendredi : de 09h00 à 12h00 ContactsTéléphone : +33 3 88 80 40 47Télécopie : +33 3 88 80 68 17 Courriel : mairie.hoffen [ à ] wanadoo.fr |
Arrondissement : Wissembourg Canton : Soultz-sous-Forêts Code commune : 67206 Habitants : Hoffenoises, Hoffenois |
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Collection privée
Le village de Hoffen est une ancienne propriété de l'abbaye de Wissembourg qui passa au début du XVIème siècle aux Princes de PALATINAT-DEUX-PONTS. La réforme y fut introduite en 1530, luthérienne puis réformée en 1588. En 1871,, on y comptait 537 protestants et 16 catholiques. Le recensement de 1962 indiquer 470 protestants (93 %), 29 catholiques et 4 divers.
RS
ENCYCLOPEDIE DE L'ALSACE - Editions Publitotal, Strasbourg, 1985
Hoffen village du Bas-Rhin, arrondissement de Wissembourg, canton de Soultz-sous-Forêts, sur le Seltzbach et le chemin de fer de Strasbourg à Wissembourg, qui y a une station qui une station ; 4 moulins à blé. 509 Habitants (42 cath., 34 luthé., 466 réf.)
l'Alsace ancienne et moderne ou Dictionnaire topographie, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin (auteur : BAQUOL - Edition entièrement refondue par P. RISTELHUBER - 1865)
« D'azur à la grappe de raisin d'or tigée et feuillée du même. »
L'armorial des communes du Bas-Rhin, Strasbourg
Hoffe > "la cour, la ferme". De l'allemand Hof "cour, cour de ferme", alsacien Hoff, Hoft "cour, cour de ferme". >> Explication complémentaire : peut-être la traduction du romant court (La court caroligienne)
Lieux dits – Dictionnaire étymologique et historique des noms de lieux en Alsace
Editions du Rhin – Michel Paul URBAN
Dépouillement
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2001 - .... | Raymond ROTH |
Dénomination : Réformée
Membre de : Eglise protestante réformée d'Alsace et de Lorraine
Consistoire de : Bischwiller
Réforme : 1530
Eglise réformée en 1742 simultanueum,
Pour les réformés : voir Birlenbach (depuis 1702) et Hunspach
Pour les Luthériens : annexe de Rittershoffen RP 1699, filiale de Rott
Source : Adeloch
Annexe de Schoenenbourg
Source : Le clergé séculier et régulier de l'Alsace depuis la révolution (Charles Kieffer Ancien archiviste de l'évèché de Strasbourg) - (A259 - AD67)
voir aussi Stundwiller, notamment baptêmes, sépultures (1684-1712), Schoenenbourg et Soultz-sous-Forêts.
Source : Adeloch
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